Tout entrepreneur est à l’affût de toute solution lui permettant de gérer au mieux son entité. Ces dispositifs et autres conseils peuvent concerner la gestion au quotidien, les ressources humaines, la surface financière, et bien entendu, la stratégie fiscale. Dans ce contexte, le offshore peut être une solution plus que pertinente.
Définition et règles élémentaires
En premier lieu, il est essentiel de rappeler que la création d’une société offshore est une technique totalement légale. En effet, malgré une réputation plutôt mauvaise à cause de certains médias, créer une telle entité est parfaitement autorisée, ce qui tord le cou à bien des idées reçues. Aussi, soulignons qu’une société offshore est définie comme telle, car son pays d’implantation est différent du pays de résidence dudit directeur ou gérant.
Autrement dit, il s’agit d’une entité basée à Dubai, au Delaware ou à Singapour alors que le directeur est fiscalement domicilié en France, en Belgique ou ailleurs. Un tel système allégé comme le offshore est un réel plus, car l’entité va de facto bénéficier des règles fiscales en place, et non, des règles fiscales du pays de résidence du CEO.
Par exemple, une entreprise offshore peut ainsi profiter d’une exonération de TVA, de taxes sur les dividendes ou encore d’un impôt sur les sociétés particulièrement faible (taux qui a encore baissé à Hong-Kong récemment). Également, les points positifs sont liés à la tenue de la comptabilité qui est similaire à celle d’une auto-entreprise, et ce, même pour une entité générant des chiffres d’affaires à 7 chiffres! Enfin, l’anonymat est un sacré avantage pour réaliser des transactions sans devoir sans cesse justifier tel ou tel mouvement.
Coût d’un tel dispositif offshore
Afin de profiter de ses avantages variés, un directeur peut donc passer par les services d’un expert. Cette étape est d’ailleurs essentielle pour éviter de perdre du temps dans une paperasse souvent très chronophage.
Ces experts savent exactement quel modus operandi utiliser pour créer une entité offshore le plus rapidement possible, et ce, tout en obtenant le feu vert des banques pour créer un compte bancaire offshore.
Selon la juridiction sélectionnée, à savoir le pays où sera basée ladite société, le coût peut aller de 350 à plus de 2 000 euros. Clairement, plus la mécanique fiscale locale est complexe, plus le tarif est élevé. Ces tarifs ne sont rien en comparaison du temps gagné!
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