Le Professeur Mirko Beljanski, biochimiste et biologiste est né en 1938 et mort en 1998. Il a mis en évidence un changement de conformation de l’ADN par l’approche Beljanski. C’est une déstabilisation progressive et cumulative de l’ADN cellulaire.
Cela se produit sous l’effet des cancérogènes et polluants. C’est cette déstabilisation qui conduit à la première étape de la cancérisation de la cellule. Une lésion majeure se manifeste au niveau de l’ADN d’une cellule pour se terminer avec l’acquisition des caractéristiques d’une cellule cancéreuse.
L’oncotest et l’immunothérapie
La déstabilisation de l’ADN des cellules cancéreuses a été confirmée plus tard. Dès qu’une cellule renferme les caractéristiques de la cellule cancéreuse, elle s’accroit de manière anarchique. En même temps, elle perd en partie son identité liée au tissu auquel elle appartenait. Beljanski fit un test biochimique pour évaluer le potentiel cancérigène des molécules qu’il développa. Il l’appela l’oncotest. Ainsi, il a pu sélectionner une partie des molécules anticancéreuses de deux plantes. Il en étudia les spécificités toxicologiques et pharmacologiques, surtout leur aptitude à détruire les cellules cancéreuses.
Comme c’est le système immunitaire qui assure la lutte contre les infections courantes. Il agit aussi pour les combats contre le cancer. Ainsi, l’immuno-oncologie est utilisée pour traiter le cancer. Elle s’active de deux façons différentes. En premier, elle arrive à utiliser les anticorps déjà présents dans l’organisme pour combattre le cancer. C’est l’immunothérapie passive. En cela, Mirko Beljanski a renforcé l’action des inhibiteurs des points de contrôle.
Ce sont surtout des substances qui permettent la neutralisation des protéines des cellules cancéreuses qui réussissent à tromper les anticorps. Ensuite, il s’agit de booster le système immunitaire avec des substances actives. C’est l’immunothérapie active, car elle agit directement sur les cellules. Le traitement est appliqué en cas de cancer du sang et de pathologies dégénératives. Il vise à donner un coup de pouce et protéger les défenses immunitaires des malades.
L’immunothérapie passive de Beljanski
Entre les deux types de l’immunothérapie, celle de Beljanski est jugée comme étant la plus efficace. Les recherches de Mirko Belljanski sur les portions d’ARN ne cessent d’apporter de nouvelles perspectives.
Ainsi, il y a des propositions de solutions innovantes qui laissent maintenir les plaquettes sanguines à bon niveau dans l’organisme. Comme effets, il devient facile de favoriser la régénération des globules blancs. C’est un grand pas dans la mesure où la chimiothérapie n’y est pas arrivée. Pour un cas de traitement par chimiothérapie, Beljanski conseille aux médecins d’attendre un certain moment avant d’appliquer une immunothérapie.
Enfin, le Docteur Mirko Baljanski a pu publier la première mise au point des RLB. Ce sont des amorceurs sélectifs et actifs des seules cellules saines. Ceux-ci offrent les avantages suivants :
- protéger ou restaurer de manière efficace les défenses immunitaires des patients sous traitement chimiothérapique ;
- ils sont actifs chaque fois que l’immunité est défaillante.
En savoir plus
Bien choisir une mutuelle en tant que senior en 2023
Comment trouver la bonne dose d’huile CBD ?
Quelles différences entre cannabis et CBD ?